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La Cour des comptes critique la « gestion particulièrement désordonnée » de la CIPAV.

Les règles de la réversion désavantagent les veufs et veuves du privé par rapport à ceux du public.

Alors que le financement des retraites n’est pas assuré, les dépenses "sociales" de la CNAV, de la MSA et du RSI, creuseront encore la dette.

Rien ne montre mieux la vacuité de la non-réforme des retraites en cours que l’absence de réaction des syndicats de la Fonction publique. Et pour cause…

Au détour d’un motif réputé technique, l’Etat s’arroge la nomination des directeurs de la caisse des professions libérales. Exit le Conseil d’administration !

« Redoutez les effets du vin, mais observez pourtant qu’il y a beaucoup plus de vieux ivrognes que de vieux médecins ».