La répartition est sacrée, mais fonctionnaires et sénateurs n'hésitent pas à recourir à la capitalisation pour eux-mêmes.
Les premiers bénéficient de la Préfon, créée en 1964 et du RAFP (régime additionnel de la fonction publique) mis en place en 2005.
S'il fonctionnait uniquement en répartititon, le régime des anciens sénateurs serait déficitaire puisqui engrange 12.4 millions d'euros de cotisatioçns et sert 38.10 milliards de préstations. Mais les Sénateurs ont un régime qui dispose de 859 milliards d'euros de réserve. C'est un régime qui s'équilibre en lui-même entre la cotisation de l'employeur qui est le sénat, et le fruit desdites réseves qui ont été accumulées pendant 117 années.
Sauvegarde Retraites révélait aussi que depuis le 1er octobre 2011, les sénateurs se sont créés un régime complémentaire par points pour compenser l'abandon du système de double cotsiation qui leur permettait s'acquérir une pension à taux plein après seulement 22.5 années de mandat. "En somme, les sénateurs n'ont plus un régime spécial, mais deux", ajoute l'association qui pointe du doigt l'opacité de ce nouveau régime spécial.
Voir la campagneChaque année 20 milliards d'euros sont pris sur vos impôts et prélevés sur vos caisses de retraite, pour financer les privilèges-retraite du public
Voir la campagneAvec la crise économique et sanitaire, les caisses de retraite perçoivent beaucoup moins de cotisations. Le déficit du système pourrait atteindre 30 MM d'€, selon le COR. Des injustices criantes creusent encore le déficit, car ce sont essentiellement les retraites du privé qui sont frappées. Une seule solution : rétablir l'équité !
Voir la campagneLa désinformation, ça suffit... Ce que l'on vous dit : on va vers un régime universel, équitable pour tous ! Ce qui se trame vraiment : la sanctuarisation des régimes spéciaux du public et même l'amélioration de leurs avantages. Et, pour les financer, le pillage des caisses de retraite du privé et la baisse inévitable des pensions.
Voir la campagneAttendu que, pour la réforme des retraites, le gouvernement cherche à ponctionner les réserves des caisses de retraite du privé - soit 71 milliards pour l'Agirc-Arrco et 27 milliards pour la CNAVPL -, je refuse catégoriquement que l'Etat ne s'en empare. Et je demande au Président de la République, à son gouvernement, à sa majorité parlementaire, de s'engager personnellement à supprimer les régimes spéciaux du public pour garantir l'équité et la pérennité des retraites de tous les Français.
Voir la campagneLe régime spécial des agents de la SNCF est sans commune mesure avec celui des salariés du privé ! Les syndicats de la SNCF n'ont à la bouche que le mot "solidarité" mais ils bloquent le pays pour défendre leurs privilèges.
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