Le temps passe et nos retraites trépassent...

LE TEMPS PASSE ET NOS RETRAITES TREPASSENT... NOS DIRIGEANTS ONT DES OEILLÈRES. Le déficit effarant de LA FRANCE continue mais la majorité des Français pratiquent la politique de  l'autruche. Bientôt, la douche froide... Heureusement qu' une association comme la vôtre tente d'ouvrir les yeux aux salariés du privé !

Bien que retraitée, je reste en contact avec certains de mes anciens clients artisans et commerçants qui souffrent terriblement du RSI et des prélèvements de charges intempestives, alors que leur chiffre d'affaires est en berne.

Quand donc, nous, retraités et salariés du privé, lèverons-nous notre bouclier pour crier notre désarroi ? Les agriculteurs entreprennent des actions, les chauffeurs de taxi aussi et beaucoup d'autres..., et nous, nous subissons - à part votre association que je soutiens car elle titille les élus pour qu'ils agissent-.

Chantal Fournier adhérente modeste et dépitée

  Les caisses sont vides. Comment s’en sortir ? Par Jacques Garello.

Organisations patronales et syndicales ne sont pas parvenues à un accord qui aurait dû intervenir bien plus tôt d’après le calendrier que s’étaient fixé les négociateurs. Nous vous avons souvent informé de l’impasse des régimes de l’ARRCO (salariés du privé) et AGIRC (cadres). Ces deux régimes fonctionnent en apparence en capitalisation (chaque assuré a un compte) mais en réalité en répartition : les actifs cotisent pour les retraités. Le vieillissement de la population concernée conduit à une impasse. Faute de cotisations suffisantes, les caisses ont mobilisé leurs réserves, maintenant en voie d’épuisement.

Comment s’en sortir ? Le Medef a proposé la mesure classique : réduire les pensions, au moins à titre transitoire. Entre 62 ans, âge légal du départ en retraite, et 65 ans, le jeune retraité percevrait une pension réduite de 30 %. Cette mesure aurait pour effet d’encourager les salariés à retarder l’âge de leur retraite, et à gonfler le montant global des cotisations. Les syndicats, à l’exception de FO, ne sont pas hostiles à ce genre de solution, mais estiment que le taux de réduction est trop élevé. Le Medef argue de ses calculs et indique que faute d’appliquer une réduction sévère, la réduction des pensions sera réduite de 12 % pour tous à partir de 2018. D’autre part les cadres ne veulent pas d’une fusion AGRIC/ARRCO qui est également en discussion.

Mais pourquoi donc continuer à bricoler les « paramètres » du système de répartition ? On ne cessera de repousser sans cesse les ajustements : reculer l’âge, diminuer les pensions, augmenter les cotisations. Que n’amorce-t-on pas la transition à la capitalisation ?

  moins 12 % de reduction pour tous...mais sous quelles conditions de croissance et d,emploi...!

si le Medef se base sur les chiffres de l,autre tarlouze de ministre du chomage Rebsamen, voici ce qui va se passer.....passage progressif de l,age legal de depart de 62 a 67 ans ,....comme chez nos amis les Teutons ou les Britons.....qui y sont deja.....

30 % de decote pour les pensions versees les 5 premieres annees, pour ceux qui partent avant l,age legal, les salauds!

et tout cela avant 2020 car c,est en 2018, et peut-étre meme avant que les caisses seront vides.....

mais la France sera faillie bien avant...et au regime salade grecque hallal a tous les repas.......

Jean-Louis LE GUILLOU et Jacky TOURNEBEUF

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