Sauvegarde Retraites dans les médias

Pour l'année :
Pas l'ASV à taux plein avant 67 ans

Pas l'ASV à taux plein avant 67 ans

La CARMF (caisse autonome des médecins de France) vient d'organiser un débat sur la réforme en cours du régime général des salariés, son impact sur les régimes spéciaux, et ses conséquences sur l'assurance vieillesse des professions libérales. A la tribune, Pierre-Edouard Du Cray, directeur des études de Sauvegarde Retraites, ne mâche pas ses mots. "Sur le calcul des pensions, les bonifications d'annuités, les reversions sans condition et les retraites 100 % garanties, la réforme ne prévoit rien".
Les artifices et les non-dits de la réforme des retraites

Les artifices et les non-dits de la réforme des retraites

Pierre-Edouard Du Cray, directeur des études de l'association Sauvegarde Retraites, analyse les failles de la réforme. L'équilibre financier promis à l'horizon 2018 repose sur trois artifices. La dimension de la réforme est minimale par rapport à ce qu'elle devrait être mais les parties prenantes (gouvernement, syndicats) ont intérêt à faire croire aux Français que c'est une vraie réforme. Celle-ci devrait modifier en profondeur le système actuel, en harmonisant les régimes ; malheureusement, les hommes politiques privilégient leurs intérêts électoralistes. En 2018, il faudra réformer dans l'urgence et dans la douleur.
Aiguilleurs du ciel : ça plane pour eux !

Aiguilleurs du ciel : ça plane pour eux !

Bloquant régulièrement les aéroports, ils sont parvenus à arracher à l'Etat, par le chantage, d'innombrables avantages. Côté retraite, l'association Sauvegarde Retraites estime qu'ils bénéficient du plus généreux des régimes spéciaux. Un traitement de faveur dû, en 1964, à leur statut dérogatoire de la fonction publique qui leur interdisait, entre autres, de faire la grève. Une obligation officiellement levée en 1984. Les pensions des aiguilleurs du ciel ont plus que doublé en vingt ans, passant de 1 875 € à 4 500 € en 2009.
Comment sauver les retraites?

Comment sauver les retraites?

Henry de Lesquen invite Marie-Laure Dufrêche et Pierre-Edouard du Cray à débattre du projet de réforme des retraites en compagnie de l'économiste Jacques Bichot.
Trois artifices pour

Trois artifices pour

Pierre Edouard Du Cray, directeur des études à Sauvegarde Retraites, signe un article. En prétendant que le système de retraite serait à l'équilibre en 2018, le gouvernement a pris un engagement intenable qui repose sur trois supercheries majeures :  la liquidation des 35 MM d'€ du FRR (Fonds de réserve des retraites) ; le recours à l'emprunt d'Etat ; une promesse en bois sur le gel la dotation de 15 MM d'€ supplémentaires pour financer la retraite des fonctionnaires. Contrairement à l'engagement du Ministre du travail, une circulaire du 6 juillet augmente le taux de contribution de l'Etat employeur à la retraite des fonctionnaires : il passe  62,14 % en 2010 à 71,41 % en 2013, soit 10 points en 3 ans !
Retraite et pénibilité : une réforme explosive

Retraite et pénibilité : une réforme explosive

La revue fait le point sur le sujet de la pénibilité. Elle compare la France et les autres pays de l'OCDE qui n'ont pas lié pénibilité et retraite. L'enjeu du débat est la question du coût. Dans le secteur public, il faut remettre sur la table les catégories dites actives. A la SNCF, la RATP et EDF, elles représentent 1,14 million de personnes. Soit, "un coût de plus de 11 milliards d'€ par an", selon une enquête de l'association Sauvegarde Retraites publiée en 2007.

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