Sauvegarde Retraites dans les médias

Pour l'année :

Décote : un système dévoyé, générateur d'inégalités

Amphitéa Magazine consacre trois pages à la décote. Elle est l'un des défauts majeurs de notre système de retraite et son mécanisme est dévoilé par Sauvegarde Retraites dans une étude fouillée : "Allongement de la durée d'activité et décote : un creuset d'inégalités". Interviewée, Marie-Laure Dufrêche, Déléguée générale de l'association, explique combien la décote est injuste et qu'il est urgent de réformer en profondeur le système de retraite actuel. "Les réformes passées n'ont pas été à la hauteur des enjeux" souligne-t-elle.
Les privilégiés de la République : ce qu'ils vous coûtent

Les privilégiés de la République : ce qu'ils vous coûtent

L'équipe du magazine a chiffré ce que chaque ménage français paie pour les excès et les privilèges des chouchous de la République : 847 euros par an. Les privilèges retraite ont été calculés avec l'aide de l'association Sauvegarde Retraites. Parmi les plus onéreux, ceux des fonctionnaires (82 euros par an et 39 euros pour la réversion versée aux veuves et veufs), ceux des cheminots, des électriciens et gaziers, des employés de l'Opéra de Paris, la retraite tout confort des parlementaires ou des employés de la Banque de France, le complément de retraite versé aux anciens élus de Paris etc, etc.. 
Une "aumône" de 4O euros par an pour les petites retraites

Une "aumône" de 4O euros par an pour les petites retraites

Dans le journal présenté par Marie Dupin à 6 h 30, Marie-Laure Dufrêche, Déléguée générale de l'association Sauvegarde Retraites, commente la décision du gouvernement Valls de verser une prime de 40 euros aux retraités touchant moins de 1 200 euros par mois. "Une prime exceptionnelle de 40 euros, il s'agit vraiment d'une aumône". De qui se moque t'on ?"
Non revalorisation des petites retraites

Non revalorisation des petites retraites

Marie-Laure Dufrêche, Déléguée générale de Sauvegarde Retraites, réagit à l'annonce faite par le gouvernement de non revalorisation des petites retraites, au micro de Bernard Poirette. "C'est un véritable feuilleton à rebondissements" expose-t-elle. "On commence par nous expliquer qu'on ne revalorisera pas les retraites avant octobre 2015. Puis on nous annonce que les petites pensions seront, elles, revalorisées au 1er octobre 2014.On nous raconte ensuite que cela pose des problèmes techniques et que cette revalorisation va être retardée..., pour finir en beauté avec l'annonce d'aujourd'hui que cette revalorisation n'aura pas lieu, au motif qu'on est pratiquement en déflation. Comment peut-on encore avoir confiance ?"
La revalorisation des petites retraites retardée

La revalorisation des petites retraites retardée

A l'heure des informations du matin (7 h 43), Philippe Richard évoque la revalorisation des petites retraites qui prend du retard et ne sera sans doute pas effective au 1er octobre prochain, à cause d'un problème technique. Il est en effet long et difficile de recenser les 8 millions de retraités qui perçoivent une retraite totale (base et complémentaire) inférieure à 1 200 €. Rien qu'en Provence, il faut en identifier 300 000, un par un. Selon Marie-Laure Dufrêche, juriste et déléguée générale de l'association Sauvegarde Retraites, "ce problème technique n'est qu'un prétexte pour cacher un manque de volonté politique".
Carrément Brunet 13 h 10

Carrément Brunet 13 h 10

 Marie-Laure Dufrêche  intervient dans l'émission d'Eric Brunet qui l'interroge sur la situation du système de retraite actuelle et à venir. "Elle est extrêmement inquiétante, mais on ne peut dire que dans 20 ans, il n'y aura plus de retraites ; simplement leur montant risque de chuter dangereusement. Les retraites du privé ne sont plus financées uniquement par les cotisations mais égalementpar le déficit : la caisse du régime général doit recourir à l'emprunt. Par ailleurs, par l'impôt sur le revenu, les retraités du privé paient la retraite des fonctionnaires qui relève d'un système non par répartition mais par budgétisation. Les sénateurs ont un régime par capitalisation. Pour sauver non le système mais les retraités, il faut traiter tout le monde de la même façon : supprimer les régimes spéciaux, aligner les fonctionnaires sur le régime du privé" a-t-elle souligné.  

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