Fraudes sociales et passivité de la CNAV

A propos du livre "Le CARTEL des FRAUDES"  du magistrat Charles Prats, que vous avez évoqué dans votre Bulletin Infos et dans vos articles sur votre site :

  •  Ayant travaillé en Grande-Bretagne et en Allemagne, je perçois une retraite de ces deux pays qui m'obligent à leur fournir chaque année une attestation établie par la mairie de ma ville, en ma présence et avec carte d'identité. Je suis surpris qu'il n'y ait pas la même exigence de la part de la CNAV.
  • Sachant que dans tous ces pays concernés par la fraude, il est très facile d'obtenir des faux en versant un backchich, l'attestation devrait être établie uniquement par l'ambassade ou le consulat de France.
  • Sachant que, statistiquement, il est probable qu'au-delà d'un certain âge le "retraité" soit sans doute décédé, il peut y avoir présomption de fraude. Il  faudrait donc arrêter tout versement automatique au delà de 80 ans et exiger que les personnes prouvent leur existence de manière irréfutable.
  • Il est évident que la CNAV ne gère pas son organisme au mieux des intérêts des ayant-droits. Il s'agit donc d'incompétence grave ou bien,  si c'est sur ordre, la faute incombe à la haute administration. Ne peut-on poursuivre ces gens pour faute grave devant un tribunal administratif  ?
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