Sauvegarde Retraites dans les médias

Pour l'année :
La réalité sociale française à la veille du sommet social

La réalité sociale française à la veille du sommet social

A la veille du sommet social du 18 janvier, trois faits majeurs nous rappellent la situation du "dialogue social" en France. Tout d'abord, la nomination d'un syndicaliste de FO à la tête de la CNAV, Gérard Rivière, sans la moindre élection, alors que les statuts de la Sécurité sociale le prévoyait à l'origine. Bien que ce syndicaliste soit particulièrement nuisible pour les retraites du privé, il règne en maître. Ce qui est stupéfiant, c'est que personne n'aie réagi, excepté Sauvegarde Retraites qui a dénoncé cette parodie de "démocratie sociale".
La "belle vie" des régimes spéciaux

La "belle vie" des régimes spéciaux

Dans son numéro de décembre, Sauvegarde Retraites dénonce la "belle vie" des régimes spéciaux. "100 milliards d'euros de déficits, une dette abyssale de 1 700 milliards d'euros..." Les régimes spéciaux sont épargnés par le projet de budget 2012 et le PLFSS. Selon l'association, la suppression des régimes spéciaux permettrait une économie de 20 milliards d'euros par an.
Notre modèle social résistera-t-il à la crise ?

Notre modèle social résistera-t-il à la crise ?

Contrairement à ses voisins, la France n'a pas pour l'instant taillé à la hache dans ses prestations. Mais beaucoup pensent qu'une remise à plat des dépenses sera tôt ou tard nécessaire. Parmi les possibles économies à faire par notre pays, une idée envisageable (mais jamais mise en pratique) : l'alignement de tous les régimes spéciaux de retraite sur celui du privé. Il permettrait de dégager à court terme "plusieurs milliards d'euros", selon les calculs de Pierre-Edouard du Cray, de Sauvegarde Retraites.
Questions à la une

Questions à la une

Les eurocrates sont-ils trop payés ? Quid de leur retraite ? Sylvie Duquenoy et Guillaume Wollner ont plongé au coeur de l'eldorado européen pour mener l'enquête. Les deux journalistes belges  sont venus interviewer  Marie-Laure Dufrêche pour faire le point sur le régime exceptionnel dont bénéficient ces 129 hauts fonctionnaires européens. Salaires juteux, parachutes dorés, retraites de nababs, tous ces avantages laissent perplexes...
Marie-Laure Dufrêche réagit à la déclaration de François Fillon

Marie-Laure Dufrêche réagit à la déclaration de François Fillon

Dans les journaux de 6 h 30 et de 8 h, présentés par Adrien Borne puis Romain Desarbres, Marie-Laure Dufrêche, déléguée générale de Sauvegarde Retraites, réagit à la déclaration de François Fillon, favorable à l'exemple allemand en matière de recul de l'âge de la retraite à 67 ans. Elle estime ce recul inévitable. D'une part, parce que les retraites ne seront pas financées. D'autre part, parce que les jeunes entrent de plus en plus tard sur le marché du travail et n'auront pas le nombre de trimestres nécessaires à l'âge de 62 ans pour valider une retraite complète. Elle déplore qu'on ne donne pas aux cotisants la liberté de choisir l'âge de liquidation de leur retraite, avec une pension dépendant des cotisations versées.
Nos retraites sont administrées par ceux qui les ponctionnent

Nos retraites sont administrées par ceux qui les ponctionnent

Dans la lettre du 5 août, Sauvegarde Retraites donne le ton : "des syndicalistes des régimes spéciaux se sont installés dans le conseil d'administration de la CNAV, la caisse de retraite du privé (...). Nos pensions sont directement administrées par ceux qui les ponctionnent !". Et enfonce le clou en annonçant avoir réussi à faire déposer une proposition de loi, portée par le député Jean-Paul Garraud "pour sortir définitivement les fonctionnaires et autres privilégiés des conseils d'administration de nos caisses".

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