Sauvegarde Retraites dans les médias

Pour l'année :
Retraites : tout ça pour ça !

Retraites : tout ça pour ça !

La réforme des retraites selon Ayrault, c'est augmenter les prélèvements."Cette réforme sera juste" ne cesse-t-il de répéter en enfonçant le clou de la pénibilité. "Une posture" dit Pierre Edouard Du Cray, directeur des études à Sauvegarde Retraites. "L'opération "justice" est un épais écran de fumée pour une réforme ratée". Car un dispositif sur la pénibilité a déjà prévu par la loi Woerth de 2010. En réalité, il s'agit d'amadouer le" peuple de gauche" en oubliant au passage qu'au bout de la pénibilité, il y aurait de sacrés gains à réaliser, avec tous les régimes spéciaux. Mais pas question de remettre à plat ces avantages corporatistes ni de réformer sur le principe "à contribution égale, retraite égale".
Retraites : la réforme qui n'en est pas une

Retraites : la réforme qui n'en est pas une

La montagne a accouché d'une souris. Pour éviter toute contestation sociale massive, c'est une réforme a minima avec beaucoup de bruit pour pas grand-chose. Aucune mesure structurelle : pas de rapprochement public-privé, pas de recul de l'âge légal ni révision des régimes spéciaux, pas plus qu'un basculement vers un régime par point. En illustration de l'article, le tableau publié par le collectif Sauvegarde Retraites sur les avantages d'une retraite de fonctionnaire.
Tenter de raboter les retraites pour sauvegarder le système

Tenter de raboter les retraites pour sauvegarder le système

Sur le site Boulevard Voltaire, lancé par les journalistes Robert Ménard et Dominique Jamet en octobre 2012, Interview de Pierre-Edouard Du Cray, chargé des études au sein de l'association Sauvegarde Retraites. "La réforme Ayrault n'est pas une réforme, mais vise au contraire à multiplier les replâtrages. L'augmentation de l'augmentation des cotisations déjà prévue engendrera du "travailler plus pour gagner moins". L'Etat organise un retard de paiement généralisé pour revaloriser les retraites. Les mesures n'apporteront qu'un tiers des besoins de financement estimés à 20 MMd'€. On ne touche pas aux régimes spéciaux... A force de retarder les échéances, il n'y a plus de solution miracle. Il faudra bien tout remettre à plat un jour.
Retraites : le piège de la pénibilité

Retraites : le piège de la pénibilité

L'instauration d'une contribution retraite "pénibilité" servira en fait à financer le déficit actuel en laissant intacte la question du financement des droits à retraite anticipée pour carrières fatigantes ou stressantes. Autant de plus mis à la charge de nos enfants et petits-enfants ! Quand cessera-t-on de recourir à de telles pratiques dignes de Madoff ? Quand prendrons-nous exemple sur le Canada, cette "nouvelle France" qui a su financer sa réforme des retraites, ainsi que cela est démontré dans la prochaine monographie du Professeur Jacques Bichot, publiée par le Think Tank Sauvegarde Retraites ?
Interview de Marie-Laure Dufrêche sur la suppression des régimes spéciaux

Interview de Marie-Laure Dufrêche sur la suppression des régimes spéciaux

Dans la matinale "Info Bourdin & Co" présentée par Charles Magnien, Marie-Laure Dufrêche, Déléguée générale de l'association Sauvegarde Retraites, est interviewée sur l'opportunité de supprimer les régimes spéciaux lors de la future réforme des retraites annoncée pour la rentrée. "Bien sûr qu'il faut les supprimer car ils coûtent cher (7,7 milliards d'euros par an, rien qu'en subventions) et parce qu'ils ont des avantages d'un autre temps. Le montant de la retraite d'un salarié du privé est de 1 216 €, mais de 1 910 € à la SNCF. Cela fait une sacrée différence ! A un moment où on demande aux autres Français de se serrer la ceinture, cela devient très problématique de ne pas intégrer la réforme des régimes spéciaux" explique-t-elle.
Amnistie sociale : la loi qui autorise les détournements de fonds

Amnistie sociale : la loi qui autorise les détournements de fonds

Le blog revient sur le scandale du projet de loi d'amnistie sociale pour les syndicalistes en mars 2013. Il rappelle que l'amendement "Klès", du nom de la sénatrice socialiste d'Ile-et-Vilaine qui l'avait porté, avait une apparence louable : exclure les violences physiques et les infractions passibles de plus de 5 ans de prison. Mais, en fait, "personne ne semblait avoir détecté qu'entre ces deux mesures se cachait le cheval de Troie de la grande absolution syndicale" s'étonne Pierre Edouard Du Cray, de l'association Sauvegarde Retraites. A savoir : tous les délits financiers commis par les syndicats et comités d'entreprise étaient amnistiés.

Fermer