Sauvegarde Retraites dans les médias

Pour l'année :
Plus de cadeaux que de sacrifices dans la réforme du régime spécial d'EDF GDF

Plus de cadeaux que de sacrifices dans la réforme du régime spécial d'EDF GDF

Le Point fait état, en avant-première, de la dernière étude de Sauvegarde Retraites sur "la fausse réforme des régimes spéciaux : le cas d'EDF".  Les quelques sacrifices imposés aux agents (allongement à 40 ans de la durée de cotisation, décote et augmentation des cotisations) sont  plus que largement compensés. D'anciens avantages sont confirmés ; les nouveaux embauchés ont des compensations ; et de nouveaux privilèges ont été arrachés par les syndicats : revalorisation de la grille de salaires, augmentation des pensions de 4,51 %, de l'indemnité de départ à la retraite... "Au bout du compte, la réforme devrait coûter plus cher que ce qu'elle rapporte". Cette réforme en trompe-l'oeil a permis au gouvernement d'assujettir les salariés du régime général à un allongement à 41 ans de leur durée de cotisation. Et cela, sans aucune compensation !
Députés, devenez les artisans d'une vraie réforme des retraites !

Députés, devenez les artisans d'une vraie réforme des retraites !

Dans la Revue parlementaire, Nicolas Lecaussin, directeur des recherches de Sauvegarde Retraites, exhorte les députés à se saisir à bras-le-corps de la réforme des retraites et à sortir de l'ensemble de réformettes et d'ajustements, menés jusqu'à présent, qui "ne font que prolonger l'agonie du système".  En France, l'examen du projet de loi de financement de la Sécurité sociale ne prend qu'une trentaine de jours - la branche vieillesse ayant la portion congrue - et le Parlement est essentiellement en position d'observateur. Une aberration ! Dans ces conditions, la première réforme à entreprendre doit être de rendre les finances sociales plus lisibles ; la seconde, de rendre plus clair notre système de retraite. Pour lire l'article en entier, cliquez sur le titre ou sur l'image.
Syndicats : quelle hypocrisie !

Syndicats : quelle hypocrisie !

Jean Agar, membre de Sauvegarde Retraites, s'insurge dans le Forum des lecteurs du Messager contre l'hypocrisie des syndicats de la fonction publique et des entreprises publiques. Ils luttent contre l'allongement de la durée de cotisation à 41 ans alors que leurs membres bénéficient d'une durée de cotisation bien moins importante. "Grâce au système des "années gratuites", les régimes spéciaux et les fonctionnaires dits "actifs" (un tiers des fonctionnaires) partent avec une retraite pleine après 35 ou 37 années, parfois même au bout de 32 ans. Sans parler de ceux qui ont eu trois enfants "...
Inégalité public privé en matière de retraite

Inégalité public privé en matière de retraite

Sur Radio Courtoisie, lors de l'émission économique de la mi-journée, Pierre-Edouard du Cray et Nicolas Lecaussin, respectivement directeurs des Etudes et de la Recherche de Sauvegarde Retraites, ont pointé du doigt les privilèges en matière de retraite des parlementaires mais aussi de la fonction publique et assimilés. Pour arriver à un constat plus général : les pouvoirs publics disent qu'ils réforment les retraites. C'est faux : ils n'ont fait aucune réforme de structure, se contentant d'ajustements paramétriques. Ils ne veulent surtout pas réformer en profondeur un système de retraite qui avantage le secteur public par rapport au privé.
37,5 années de cotisation ? Chiche !

37,5 années de cotisation ? Chiche !

Dans le courrier des lecteurs de Ouest-France, Pierre Edouard du Cray, directeur des études de Sauvegarde Retraites, met au défi les syndicats de retourner aux 37,5 ans de cotisation. Ceux qui appellent à la grève sont loin de travailler effectivement 40 ans ou même 37,5 ans, étant pour le gros des bataillons, des agents de la fonction publique ou des entreprises publiques.
Transports publics : la grève de trop

Transports publics : la grève de trop

Dans la page "Débats" du grand quotidien, Pierre-Edouard Du Cray, directeur des études de Sauvegarde Retraites, et Nicolas Lecaussin, directeur des recherches, dénoncent les revendications abusives des syndicats de transports publics qui appellent à la grève du 22 mai. D'autant plus qu'ils ont obtenu d'énormes compensations au titre de la "réforme des régimes spéciaux". La retraite moyenne d'un cheminot s'élève en moyenne à 1 620 € pour une carrière loin des 40 annuités nécessaires à celle d'un salarié du privé. Celui-ci, pour une carrière complète, perçoit au maximum en moyenne 1 465 € et cet écart ne cessera de se creuser dans les années à venir. Edition du 22 mai 2008. Lire l'article "Transports publics, la grève de trop"

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