Sauvegarde Retraites dans les médias

Dans l'émission quotidienne de Laurent Ruquier sur France 2, "On n'a pas tout dit", Marie-Laure Dufrêche fait l'addition des différentes retraites de l'ancien Président Chirac : retraite de Président de la République, de député, de magistrat de la Cour des Comptes, de Conseiller général, de maire de Paris et... de membre de droit du Conseil Constitutionnel. Un empilement de retraites relevant de  différents régimes spéciaux  et dont le total s'élève à 30 800 euros !

Sous ce titre, le mensuel Capital examine la mise en oeuvre  concrète des promesses du candidat devenu Président. Sur les régimes spéciaux, Pierre Edouard du Cray, directeur des études de Sauvegarde Retraites, estime que l'agitation actuelle ne risque de ne déboucher que sur "une réformette".

En pleine actualité sur les régimes spéciaux, l'hebdomadaire spécialisé rappelle opportunément que Sauvegarde Retraite a vivement critiqué la réforme du régime de la Banque de France, qui "n'a rien perdu de ses avantages et demeure le meilleur de France".

Jean Yves Ruaux, rédacteur en chef de Seniorscopie.com se fait l'écho de la dernière étude de Sauvegarde Retraites sur le coût réel des régimes spéciaux  qui s'élève au moins à 8,5 milliards d'euros. Soit beaucoup plus que les 5 milliards généralement avancés. Pour les trouver, il faut analyser un maquis de documents, ce qu' a fait Pierre Edouard du Cray, le Monsieur Etudes de Sauvegarde Retraites.

En matière de régimes spéciaux, les parlementaires feraient bien de balayer devant leur porte. Le Figaro rappelle la situation de leur régime et demande son analyse à Pierre Edouard du Cray, directeur des études de Sauvegarde Retraites, qui s'insurge un régime par "capitalisation sans risque. L'Etat injecte des fonds provenant du contribuable pour équilibrer".

Répondant à de nombreux lecteurs qui s'inquiètent pour leur retraite, le journal s'appuie sur la dernière étude de Sauvegarde Retraites dénonçant le régime spécial obsolète des fonctionnaires dits "actifs" - qui partent à la retraite beaucoup plus tôt que les autres (55 ans, voire 50 ans) -  pour inciter ces derniers à envisager des projets d'épargne retraite complémentaire !