Sauvegarde Retraites dans les médias

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Marie-Laure Dufrêche réagit au décret sur la retraite à 60 ans

Marie-Laure Dufrêche réagit au décret sur la retraite à 60 ans

 Marie-Laure Dufrêche, Déléguée générale de Sauvegarde Retraites,  souligne que le retour de la retraite à 60 ans va "dans le mauvais sens. Alors que, ces dernières années, le gouvernement a tout fait pour tenter de sauver les retraites, cette mesure purement électoraliste est très dangereuse car elle n'est pas financée. On ne sait pas la chiffrer exactement. Les mesures pour les mères de trois enfants et pour les chômeurs vont allonger la note. De plus, elle passe sans consultation du Parlement, par un décret. " Interview différé.
Interview de Marie-Laure Dufrêche, Déléguée générale de Sauvegarde Retraites

Interview de Marie-Laure Dufrêche, Déléguée générale de Sauvegarde Retraites

Répondant à Roxane Pont, Marie-Laure Dufrêche  se dresse contre la retraite à 60 ans rétablie par le Président Hollande. "Cette mesure purement électoraliste est très dangereuse car elle n'est pas financée. De plus, elle passe par un décret et non par le vote de l'Assemblée nationale. Au moment où l'on fait tout pour augmenter l'âge de la retraite afin de sauver l'avenir, cette mesure nous tire en arrière" souligne-t-elle. Interview différé.
Interview de Pierre-Edouard du Cray

Interview de Pierre-Edouard du Cray

Pierre-Edouard du Cray, est interviewé sur le projet de décret du gouvernement concernant la retraite à 60 ans pour les carrières longues. "Il y a de plus en plus de retraités pour un nombre stable d'actifs. Les caisses sont vides lorsqu'elles ne sont pas déficitaires. Il est difficile de comprendre comment le gouvernement va financer cette nouvelle mesure".
La crise annoncée de la dette des retraites

La crise annoncée de la dette des retraites

A l'heure inquiétante où le gouvernement socialiste veut partiellement ramener la retraite à 60 ans, l'association Sauvegarde Retraites vient de publier une étude très révélatrice de Jacques Bichot, professeur émérite d'économie à l'Université Jean Moulin (Lyon 3), auteur déjà de plusieurs livres remarqués. Intitulée "Titanic Debt", cette étude montre que les 1 700 milliards de la dette publique ne sont que la partie émergée de l'iceberg.
Et si la dette publique n'était que la partie émergée de l'iceberg ?

Et si la dette publique n'était que la partie émergée de l'iceberg ?

En France, le montant de la "dette retraite", qui prend en compte des dépenses d'assurance-maladie et les pensions des retraités actuels et futurs, atteindrait 10 370 milliards d'€, selon le le professeur Jacques Bichot, de l'université Jean Moulin Lyon III, dans une étude publiée par Sauvegarde Retraites. "D'après le traité de Maastricht, chaque membre de l'UE doit maintenir sa dette en dessous de 60% du PIB. Mais il ne s'agit que de la dette publique classique (qui s'élève à 1 717 milliards d'€) et non de la dette publique totale. Celle-ci pèse sur les mêmes personnes et sur les générations futures qui risquent de ne pouvoir les rembourser... 
Et si la dette publique n'était que la partie émergée de l'iceberg ?

Et si la dette publique n'était que la partie émergée de l'iceberg ?

Selon une étude de l'économiste Jacques Bichot, professeur émérite à  l'université Lyon III, et publiée par l'association Sauvegarde Retraites,  le montant de la "dette retraite" française atteindrait 10 370 milliards d'euros. Soit 5,6 années de PIB. Un chiffre à comparer aux 1 717 milliards de la dette publique classique et aux 1 200 milliards du patrimoine financier des ménages.  

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