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Sauvegarde retraite : des Citoyens qui Prennent leur Retraite en Main |
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Contre l’explosion incontrôlée des retraites publiques, la dernière campagne de presse de Sauvegarde Retraites ! (02/06/2006) |
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Le Parisien-Aujourd’hui en France, le Figaro, le Figaro Magazine, Valeurs actuelles, Le Point, Télé-Obs, Metro, Jour de Chasse et d'autres…, ces journaux nationaux publient la dernière campagne de Sauvegarde Retraites : un tableau comparatif entre les retraites du public et celles du privé. Explosif ! |
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Grâce à ses 61 000 membres, Sauvegarde Retraites organise en ce moment une campagne de publicité dans la presse écrite pour faire connaître au plus grand nombre l’incroyable iniquité du système de retraite français, avec un tableau comparatif plus éloquent que toutes les explications... Et le message passe dans de grands journaux nationaux : le Figaro, le Figaro Magazine, le Parisien – Aujourd’hui en France, Le Point, Télé-Obs, Metro, Valeurs actuelles, Politique Magazine, Jour de Chasse, le Bottin gourmand… Une véritable vague qui nous permet d’informer des centaines de milliers de lecteurs qui n’ont encore aucune idée de l’ampleur de la catastrophe qui leur pend au nez. Car l’inégalité des retraites en France est flagrante entre le public et le privé. Elle fait le lit d’une injustice dévastatrice entre les Français. Les ¾ de l’impôt sur le revenu servent aujourd’hui à payer les retraites privilégiées des fonctionnaires et des bénéficiaires des régimes spéciaux. Un chiffre qui va exploser dans les dix années qui viennent, faisant grimper taxes et impôts… Il n’est pas acceptable que les actifs et retraités du privé payent, via les « adossements » déjà effectués (EDF-GDF), en cours (RATP, CCIP) ou à venir (La Poste, SNCF et d’autres…) les incroyables privilèges de quelques milliers de personnes : âge de départ, niveau et durée de cotisation, salaire de référence, pension moyenne, durée de la retraite etc… Le minimum est d’exiger que les nouveaux embauchés dans ces entreprises publiques aient au moins un statut différent, calqué sur celui du salarié du privé. Il faut porter le débat au cœur de la prochaine élection présidentielle : sans réforme, on s’achemine, au mieux, vers une paupérisation inévitable de la majorité des retraités du privé ; au pire, vers une explosion sociale, les jeunes générations manifestant tôt ou tard leur ras-le-bol. Et, en étant catastrophiste, à un cumul de ces deux maux… Il faut nous battre. Il y va de l’avenir de nos enfants et de nos petits-enfants ! |
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