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| Sauvegarde retraite : des Citoyens qui Prennent leur Retraite en Main | ||
| Votre campagne dans la presse fait un tabac ! (15/12/2003) | ||
| Les journalistes de la presse nationale et locale ne cessent de contacter Sauvegarde Retraites parce qu’ils sont submergés par vos cartes de protestation. Continuons le combat ! | ||
| Grâce à vous, la dernière campagne de protestation de Sauvegarde Retraites fait mouche et commence vraiment à porter ses fruits. L’association est constamment appelée par des journalistes, étonnés de recevoir des dizaines de cartes de protestation qui inondent leurs rédactions. France 2, La Croix, Le Point, L’Express, La Nouvelle République, Le Journal de la Haute Marne, La Vie financière, et bien d’autres… Ils s’interrogent. Ils veulent savoir pourquoi. A dire vrai, ils ne connaissent pas vraiment le dossier. Ah bon ? Les députés et sénateurs ont un régime de retraite super-avantageux ? Et en quoi ? Ils avaient dit qu’ils le modifieraient ? Ah ?... Il faut expliquer, raconter toute l’histoire : comment - même s’ils ne s’en souviennent plus - la presse elle-même, au début de l’année, s’est fait l’écho d’une résolution de nos parlementaires qui se voulait exemplaire. (Il y a même eu une proposition de loi de Philippe de Villiers sur le sujet). Oui, à l’occasion de la réforme des retraites, les députés commenceraient par réformer leur propre système de retraites, centenaire, qui leur permet en 15 ans de toucher deux fois la retraite d’un salarié moyen du privé (lequel aura dû, lui, travailler pendant 40 ans…). Oui, ils donneraient un courageux exemple dans un dossier qui s’annonçait sensible et difficile. La suite ? On la connaît. Un enterrement en catimini de toutes ces belles intentions ! Heureusement, Sauvegarde Retraites veillait. Pour dénoncer cet «oubli» comme intolérable, presque insultant pour ceux qui s’échinent pendant des décennies pour une retraite de misère. Par votre intermédiaire, il faut sensibiliser les journalistes et interpeller les députés eux-mêmes. Vos cartes de protestations à ces deux types d’interlocuteurs, ne cessent de tomber chaque jour plus nombreuses sur leurs bureaux. Pour demander des explications. Pour alerter les médias afin qu’ils fassent leur travail et que tous les Français soient tenus au courant. Si l’on veut une vraie réforme en profondeur de notre système de retraites, cela commence par un combat sans merci contre la désinformation et pour une information objective et factuelle, de tous. Nous y oeuvrons. Merci de nous soutenir. | ||
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